Road-trip

Les circuits thématiques

De l'Aubrac aux Gorges du Tarn

Découvrez les circuits à thèmes sur 4 jours pour découvrir au mieux les Gorges du Tarn, le Causse de Sauveterre et la Vallée du Lot en voiture, van ou camping-car.
Explorez ce territoire d’exception à travers 4 circuits thématiques : « les grands panoramas des Gorges du Tarn » au départ des Vignes, « le Gévaudan entre châteaux et églises » au départ de la Canourgue, « le circuit de la préhistoire » au départ de Chanac, « l’architecture caussenarde sur le sauveterre » au départ du Massegros.

À réaliser en

4 jours

sur

264 kms

Jour 1
Jour 2
Jour 3
Jour 4

Les Grands Panoramas des Gorges du Tarn

59 km

Etape

01 Etape 01

Au petit matin

1- Départ des Vignes vers le Château de Blanquefort

On commence notre parcours en s’élevant au-dessus des Vignes pour rejoindre les falaises du Causse Méjean. Avez-vous remarqué le château de Blanquefort ? Il surplombe le village de son promontoire rocheux, dont on le distingue à peine. On y accède par un sentier qui grimpe le long de la falaise. Notre photo est prise du parking situé au dernier lacet. En contre-bas, rive gauche du Tarn, on aperçoit un chemin, c’est le GR736 Gorges et Vallée du Tarn, qui passe par les Vignes.

02 Etape 02

11 km

2- La mythique Baousse del Biel

Envie de se dégourdir les pattes ? Prenez le temps de découvrir la « Baousse del Biel » en prenant le sentier au départ de la Bourgarie, qui vous amène à un immense rocher percé, parfait exemple de roche ruiniforme qu’on trouve sur les Grands Causses. Ce sentier vous fera longer les corniches des Gorges et profiter de panoramas spectaculaires, accompagnés par les vautours… (Départ du hameau de la Bourgarie 3km aller-retour, fiche rando en vente à l’office. Découvrez nos randos. )

03 Etape 03

23 km

3- Vue sur les Détroits depuis le Roc des Hourtous :

Le Roc des Hourtous est un point de vue grandiose sur les Gorges du Tarn. Êtes-vous prêt à admirer sa vue plongeante sur les Détroits ? A la cime des falaises, seulement 100 m séparent le Causse Méjean et le Causse de Sauveterre, tandis que 500 m de vide s’étalent sous nos pieds… En période estivale, on aperçoit les barques et les canoës voguant sur le Tarn : minuscules points mouvants, ils nous donnent une idée de la hauteur vertigineuse de notre promontoire.

04 Etape 04

34 km

4- Descente par les lacets de la Malène

Il est maintenant temps de quitter le Causse Méjean et de traverser les Gorges du Tarn. On les rejoint par le village de la Malène, auquel on accède par une belle descente sur la D43 … On retient son souffle pendant 10 épingles, tandis qu’on longe le vide et que l’on commence à apercevoir les maisons pittoresques lovées au creux de la falaise. En route, vous pouvez vous arrêter à la statue de la vierge Notre-Dame de la Malène, pour profiter d’un point de vue sur le village.

05 Etape 05

46 km

5- Le Point Sublime : spot incontournable.

« Sublime », il l’est sans aucun doute. Ce point de vue, le plus connu des Gorges du Tarn, est réputé pour être le plus grandiose d’entre tous. On surplombe ici le Cirque des Baumes et on admire les Gorges en enfilade, des Détroits jusqu’au Pas de Soucy. Face à nous, les abruptes falaises du Causse Méjean que l’on parcouraient tantôt, tandis qu’au dessus de nos têtes tournoient les vautours, qui
complètent ce tableau époustouflant.

06 Etape 06

Vue de Saint Rome de Dolan sous un ciel orageux, situé sur le Causse de sauveterre et surplombant les Gorges du Tarn.

53 km

6- Saint-Rome-de-Dolan « en équilibre »

Le village de Saint-Rome de Dolan ne peut qu’émerveiller le visiteur. Sa situation parait quelque peu insolite : implanté en bordure de la falaise, il semblerait presque suspendu dans les airs. Ces maisons pittoresques sont dominées par la masse imposante du Centre Pierre Monestier, autrefois orphelinat tenu par des soeurs, maintenant centre de vacances. Un point de vue magnifique pour achever notre périple et retourner aux Vignes.

Le Gévaudan, entre châteaux et églises

105 km

Etape

01 Etape 01

Au petit matin

1- Départ de la Canourgue, au pays des chanoines et de Saint-Frézal

Saviez-vous que le village de la Canourgue s’est développé autour d’un des cinq monastères du Gévaudan ? Son église, encore appelée « collégiale Saint-Martin» pour avoir accueilli des chanoines, reflète encore son importance. Une étape à ne pas manquer pour tous les amoureux du patrimoine ! On ne manque pas non plus la chapelle Saint-Frézal, de l’autre côté du village, édifice roman qui accueille le tombeau où repose le Saint, assassiné en 826.

02 Etape 02

Saint Saturnin de Tartaronne et son château du XIIIème siècle. Il est situé aux pieds des falaises du Causse de Sauveterre à 3 km de Banassac dans La Vallée du Lot.

5 km

2- Saint-Saturnin et son château

Le village de Saint-Saturnin-de-Tartaronne, dominé par la masse imposante de son château, est lové au creux du cirque rocheux formé par les contreforts du Sauveterre. L’élément le plus ancien du château, sa tour carrée, date du XIIIe siècle. Au cours du XVIe siècle, l’édifice bénéficie de nombreux travaux. A la mort du dernier comte au XIXe siècle, le château déjà délabré passera de mains en mains, avant de devenir en 1995 la propriété de privés qui entameront sa restauration. À deux pas de l’édifice, l’église romane abrite de jolies peintures murales dont certaines âgées de plusieurs siècles.

03 Etape 03

11 km

3- Canilhac, fief de la Baronnerie

Nul besoin de se demander pourquoi les seigneurs de Canilhac avaient fait de cet endroit le fief de leur baronnie.
Le château surplombe la Vallée du Lot qui serpente jusqu’aux portes du Rouergue. Les ruines que l’on visite sont celles d’un édifice datant probablement du XIIe siècle. A côté du château on remarque l’église romane Saint-Vincent, qui puiserait ses racines dans le Haut Moyen-Age. Elle abrite une statue semblant remonter à l’époque gallo-romaine.

Ruines du Château de Canilhac dans la Vallée du Lot. Une salle en rez de chaussée a été restaurée.

04 Etape 04

27 / 35 km

4- Les villages de Nogaret et des Hermaux

Entre Saint-Pierre-de-Nogaret et les Hermaux, découvrez le village de Nogaret. Le site était dominé par le château féodal, siège du Mandement de Nogaret, depuis longtemps ruiné. En contre-haut de ce village, on aperçoit la Chapelle de Nogaret. Non loin de là, le village des Hermaux revêt encore le charme d’antan des villages de l’Aubrac. Son église romane modeste mais élégante surplombe le village. Son chevet parait dater du XIIe siècle. Remarquez à l’intérieur des motifs de « cordons de billettes», éléments d’ornementation sculptés en forme de « billes » étirées disposées en ligne, que l’on retrouve dans l’art roman auvergnat.

05 Etape 05

41 / 51 km

5- Les Salces et Combret, leurs église.

On continue notre voyage sur les contreforts de l’Aubrac, à la découverte de l’église romane des Salces. Les grilles des tribunes sont celles qui entouraient le chœur autrefois. Cet édifice élégant passe pour être l’œuvre des moines de la Domerie d’Aubrac. Légende ou réalité, le mystère plane… Plus au sud, à Combret, découvrez l’église Saint-Privat, dans le charmant hameau de Combret, est remarquable par son toit à la « Philibert Delorme ». Portant le nom du célèbre architecte royal, cette forme de toiture est très répandue dans la Vallée du Lot. Le bois de peuplier, souple par nature, permet de donner à la charpente ces jolies formes cintrées.

06 Etape 06

Chäteau de Montjézieu dans La Vallée du Lot

57 km

6- Montjézieu, « le mont des juifs »

On quitte l’Aubrac pour retourner dans la vallée, que l’on atteint par Montjézieu. Le château surplombe la route sinueuse au dessus de la rivière. La plus ancienne trace de son existence remonte au XIIe siècle. L’actuel édifice est privé, c’est un bâtiment composite bâti et restauré à plusieurs époques. On remarque surtout l’imposant donjon rectangulaire. Quelques centaines de mètres plus loin, suivez les flèches ! Elles vous mèneront à la Chapelle Saint-Jean du Bedel.

07 Etape 07

73 km

7 – A l’assaut de la forteresse épiscopale du Villard

On continue notre route direction Chanac. Sur un éperon rocheux dominant le Lot, se trouve le hameau du Villard, connu dès le XIIIe siècle pour être un avant-poste fortifié défendant le domaine épiscopal. Endommagé pendant les Guerres de religion, il est délaissé au profit de Chanac, déclinant ainsi jusqu’à son abandon total au XVIIIe siècle. Il a bénéficié d’une rénovation dans les années 1980. L’ensemble ainsi rénové constitue un exemple typique de forteresse épiscopale du Moyen-âge.

Sur l’éperon rocheux qui domine le Lot en aval de Chanac cohabitent deux agglomérations : Le Villard Vieux, premier bourg haut perché, et le « Villard Jeune », second village. Au Moyen-âge, le Villard faisait partie du mandement du Château de Chanac, possession épiscopale dont il ne reste aujourd’hui plus que le fameux donjon. Le Villard jeune naît dès le XIIIème siècle, avec la fondation du Château de Villard. A cette époque, le hameau était un avant poste fortifié qui servait à défendre le flan Ouest du domaine épiscopal et de se protéger ainsi des forces des rois capétiens siégeant à la Canourgue, Chirac et Marvejols. Endommagé pendant les guerres de religion, le Villard est alors délaissé au profit de Chanac. Le hameau décline ainsi progressivement jusqu'à son abandon total au XVIIIème siècle. Dans les années 1980, les remparts, son église, sa porte fortifiée et certaines de ces maisons furent restaurée avec le concours de l’Etat, et de collectivités territoriale dont la commune de Chanac, par le biais d’un chantier école. L’ensemble rénové constitue un exemple typique de forteresse épiscopale du Moyen-âge. Il est accessible en permanence et se visite librement.

08 Etape 08

77 km

8 – Un petit tour à Chanac

Chanac possède un riche passé historique, dont la fameuse Tour est le symbole. Le château dont elle est l’unique vestige était autrefois la résidence d’été des évêques de Mende. Il connut une période faste au cours du XVIIe siècle. A l’époque, il ne comportait pas moins trente-huit appartements ! L’édifice fut victime d’un incendie durant l’épisode de contre-révolution en 1793. Il n’en reste aujourd’hui plus rien, excepté la fameuse tour… Découvrez aussi l’église Saint-Jean-Baptiste en contre-bas du village.

09 Etape 09

99 km

5- La Capelle et Saint-Martin

Retour sur le Causse de Sauveterre, où le hameau de la Capelle jaillit d’entre quelques dolines et forêts de pins. Son église Saint-Martin d’origine romane est classée aux Monuments Historiques. Les fresques que vous pouvez admirer dans l’édifice datent du Moyen-Age et du XVIIIe siècle.

Le Circuit de la Préhistoire

50 km

Etape

01 Etape 01

Le matin...

1- Chanac : top départ !

On profite de notre présence à Chanac pour parcourir les ruelles de la vieille ville et passer à la Tour qui surplombe le village. Une fois fait, prenons la route, direction : Sainte-Enimie, nous allons traverser le Causse de Sauveterre !

La Tour de Chanac, est un vestige du château des évêques de Mende. Visites guidées organisées en saison.

02 Etape 02

6 km

2- Le géant de Laumède…

Rencontre avec le 1er dolmen, et pas des moindres : « Lou Gigonte », le dolmen de Laumède : l’un des dolmens les plus célèbres de nos contrées, grâce à son impressionnante table de 10 tonnes ! Il s’agit là d’un dolmen à chambre double : il possède deux chambres qui se suivent. Des tessons de poterie ont permis de dater une partie du dépôt du bronze final.

Accès : face à l’intersection de la Nojarède, prendre la route direction Laumède puis suivre la piste carrossable qui la prolonge. Laisser le véhicule pour prendre le chemin qui monte à droite.

03 Etape 03

8 km

3- Les Menhirs de Roumaldis et l’aire des 3 seigneurs

Un chemin nous mène à deux menhirs redressés il y a quelques années. L’un mesure 1,40 m tandis que l’autre fait près de 3,50 m de hauteur ! Placez-vous à côté pour vous rendre compte de son impressionnante taille ! Ils sont aussi appelés les menhirs du puits de fraysse.

Accès pour les menhirs : En face du hameau des Claviers, emprunter la piste carrossable qui mène à la carrière sur environs 1,2 km.

L’Aire des Trois Seigneurs est un ensemble mégalithique édifié vers 2000 av JC. On y retrouve l’un des plus grands dolmens de Lozère, à accès coudé creusé dans le sol. A proximité, on distingue avec difficulté deux « cromlechs » (ensemble de pierres levées
formant une sorte d’enceinte circulaire). L’ensemble mégalithique est inscrit au titre des Monuments Historiques.

Accès à l’aire des 3 seigneurs : après les menhirs de Roumaldis, continuer sur la même piste et suivre les indications.

04 Etape 04

9 km

4- Le Dolmen de la Plone aux Ayguières

Ce dolmen à l’architecture complète est couvert d’une table cassée, sur laquelle on retrouve une cupule (petit creux arrondi) au-dessus de l’entrée.

Accès : En bordure de la route, au niveau de la borne, après les Ayguières.

05 Etape 05

18 km

5- Le Dolmen de Dignas.

Malgré son aspect ruiné et les fouilles effectuées par le Dr Prunière au XIXe siècle, ce mégalithe n’avait pas fini de nous livrer ses secrets : une étude récente a permis la découverte de mobilier de l’âge de fer dans le tertre.

Accès : Prendre la route qui mène du hameau du Bac à Dignas sur environ 1 km. Arriver au niveau de la piste qui monte
sur la droite, laisser le véhicule et continuer à pied jusqu’au dolmen.

06 Etape 06

25 km

6- On descend de la montagne… Sainte-Enimie.

On descend de notre plateau pour arriver à Sainte-Enimie, le célèbre village au coeur des Gorges du Tarn. Un arrêt pique-nique au bord du Tarn vous tente ? Ou bien une balade au cœur des ruelles médiévales du village ?

07 Etape 07

32 km

7- Finissons avec le Dolmen de la Baume.

Ce dolmen simple à la table imposante se trouve au centre d’un tumulus. Il est remarquablement conservé.

Maintenant, retour sur Chanac pour terminer notre journée !

Accès : Laisser le hameau de la Baume sur la gauche et continuer direction Roussac. A 100 m après l’intersection avec la Périgouse, laisser le véhicule à l’entrée de la piste sur la gauche et marcher jusqu’au dolmen.

L'architecture caussenarde sur le Sauveterre

50 km

Etape

01 Etape 01

Au petit matin...

1- Du Massegros à Saint-Rome de Dolan…

En avant pour notre circuit à travers l’architecture caussenarde au départ du Massegros : charmante bourgade où il fait bon vivre ! Dans les ruelles de ce village caussenard découvrez entre-autre : le four à pain, des maisons caussenardes avec le toit en lauzes calcaires et les murs en pierres calcaires jointées à la chaux, la fontaine voûtée, la maison aragonaise (privée)… On continue notre route direction Saint-Rome-de-Dolan. Apercevez-vous sur le bas-côté de la route, sur votre gauche, la « cazelle » ? On en trouve en grand nombre dans nos régions : les bergers construisaient ses petits abris à proximité des pâtures. Plus tard, les cantonniers reproduiront la même technique le long des routes.

02 Etape 02

11 km

2- Saint-Rome-de-Dolan et Cauvel

En plus de nous offrir un panorama exceptionnel sur les Gorges du Tarn, le village de Saint-Rome-de-Dolan est constitué de jolies maisons caussenardes. Prenez la petite rue qui descend vers le panorama et observez sur votre gauche la petite avancée de la salle des fêtes : on y remarque un ingénieux système de chenaux en pierre, permettant de récupérer l’eau de pluie.

DÉTOUR PAR CAUVEL – 7KM ALLER-RETOUR
Cauvel est un hameau datant du XVIIe siècle qui fut progressivement abandonné à la fin des années soixante, jusqu’à ce que quelques passionnés des vieilles pierres en tombent amoureux. L’ensemble de bâtisses caussenardes pittoresques a été remarquablement
restauré, et le lieu vaut le détour.

03 Etape 03

11 km

3- Le hameau d’Almières

Quelques kilomètres plus loin, nous voici arrivés au hameau d’Almières, en corniche des Gorges du Tarn. Ce village est composé d’ensembles caussenards du XVIIe et du XVIIIe siècle magnifiquement rénovés…

04 Etape 04

16 km

4- Saint-Georges-de-Lévéjac et son Point sublime

Saint-Georges-de-Lévéjac abritait une congrégation de soeurs. Mais le village au maison caussenardes est surtout connu pour être à proximité du Point-Sublime, le plus beau point de vue sur les Gorges du Tarn, passage incontournable de tous les visiteurs.

05 Etape 05

22 km/ 26 km

5- Les Monziols, sa maison Aragonaise et Soulages

Le village des Monziols possède une bien belle maison : une ferme dite « Aragonaise » (ne se visite pas). Ce terme désigne les maisons qui possèdent des galeries extérieures, sur arcades avec balustres. L’origine de leur nom fait peut-être référence aux temps où la région était sous l’autorité du roi d’Aragon ; cependant la construction de ses demeures est bien postérieure à cette époque… Les maisons Aragonaises étaient souvent les maisons de personnes aisées, souhaitant se démarquer par le biais de l’architecture de leur demeure…

Non loin de là, découvrez le bel hameau de Soulages et ses nombreuses maisons caussenardes. Soulages est un des plus beaux villages du Causse de Sauveterre, à l’époque, il y existait même une laiterie où on fabriquait du Roquefort. Depuis 1998, le village a renoué avec son activité première grâce au Gaec le Lévéjac qui y fabrique désormais « Le Lévéjac », fromage de brebis au lait cru.

06 Etape 06

38 km

6- Au milieu de la forêt : Pertuzades

A la Piguière, une petite route nous mène hors des sentiers battus et nous voici en train de traverser des hameaux au coeur de la nature : Malavialette, le Duc puis enfin Pertuzades. Mais quel est ce drôle d’objet en bois prêt du four à pain ? De l’art contemporain ? Mais non, c’est un métier à ferrer, ou « ferradou » ! On l’utilisait pour ferrer les boeufs et les chevaux… On y trouve aussi un four à pain et de belles maisons caussenardes.

07 Etape 07

40 km

7- La Tieule :

Nous voici à La Tieule. Ici la religion a laissé, comme souvent, des traces du passé : ainsi les actuelles Ecuries de Sauveterre à la Tieule étaient appelées « monastère » car le chanoine Pierre Ladet y serait né et y aurait accueilli de nombreux religieux… Cet ancien monastère est typiquement caussenard, tout comme les maisons du village et notamment la Ferme aux saveurs d’autrefoie.

08 Etape 08

34 km

8- Terminons par le Tensonnieu

On retrouve dans notre dernière étape de nombreux éléments déjà croisés : maisons caussenardes, du petit patrimoine caussenard : four à pain, métier à ferrer mais aussi une belle marre où les brebis venaient se désaltérer. Il en existe de nombreuses sur le Causse, ainsi que des « lavognes », sorte de marres artificielles dont le sol est recouvert d’argile imperméable. Ces endroits étaient indispensables aux bergers qui y amenaient leurs troupeaux régulièrement…

Nous terminons notre journée caussenarde en rentrant au Massegros.